mardi 16 janvier 2018

Je dévore votre histoire.

C’est fantastique,

je dévore votre histoire et j’ai l’impression que c’est ma grand-mère qui la raconte, Simone Ozanne, l’avez-vous connue ?

Encore plus étrange pour moi, je retrouve le vocabulaire qui a bercé mon enfance, la sœur tourière, le préau, le réfectoire, la révérende mère et Alix Le Clerc, des mots que je n’ai plus entendu depuis que j’ai quitté les Oiseaux.

Plus j’avance dans votre récit plus je retrouve et décode mes traumatismes.

C’est incroyable le formatage que ces gentilles sœurs nous ont fait subir.

Je passe du rire aux larmes en le lisant.

Je vous remercie pour votre acuité et votre analyse calme.

Ce serait bien de l’éditer.

Amitiés.

Patricia Chichmanova

1 commentaire:

  1. Merci Patricia.

    Je suis tout à fait d’accord pour éditer « Nous les couventines » si vous voulez vous en charger, mais est-ce possible puisque c’est lisible par tous gratuitement sur internet ?

    Plusieurs personnes m’ont dit, comme vous, avoir retrouvé des souvenirs à travers ces récits et plusieurs m’ont conseillé de l’éditer mais je ne sais pas comment faire. Bien entendu si cela vous intéresse je suis prête à toutes les corrections nécessaires.

    J’ai presque fini le « mémoire de Madeleine ». Je m’aperçois que je n’avais lu que la partie écrite par Yvonne. C’est passionnant. Quel courage !

    Je vais lire maintenant vos livres après avoir prêté « Madeleine » à une amie polonaise qui va certainement être très intéressée.

    À bientôt j’espère.

    Amicalement

    Annick

    P.S. : savez-vous qu’il y a eu un livre sur « les oiseaux ». Si vous ne l’avez pas lu j’essaierai de le retrouver dans ma bibliothèque.

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