mardi 16 janvier 2018

Je dévore votre histoire.

C’est fantastique,

je dévore votre histoire et j’ai l’impression que c’est ma grand-mère qui la raconte, Simone Ozanne, l’avez-vous connue ?

Encore plus étrange pour moi, je retrouve le vocabulaire qui a bercé mon enfance, la sœur tourière, le préau, le réfectoire, la révérende mère et Alix Le Clerc, des mots que je n’ai plus entendu depuis que j’ai quitté les Oiseaux.

Plus j’avance dans votre récit plus je retrouve et décode mes traumatismes.

C’est incroyable le formatage que ces gentilles sœurs nous ont fait subir.

Je passe du rire aux larmes en le lisant.

Je vous remercie pour votre acuité et votre analyse calme.

Ce serait bien de l’éditer.

Amitiés.

Patricia Chichmanova